Carrefour l’exprimait clairement à la fin des années 80 avec son slogan « Avec Carrefour, je positive! » et c’est probablement à cette période que l’enseigne d’Hypermarchés connaissait ses meilleurs indices de satisfaction clients (rayons nickel à l’ouverture, peu de ruptures, proximité clients…).
Ce serait probablement un raccourci trop rapide que de dire que ce slogan a servi les résultats de Carrefour à l’époque et pourtant l’optimisme dans le monde de l’entreprise peut rapporter gros. Pourquoi ?
Parce qu’il incite vos collaborateurs et collègues à être optimistes également; c’est l‘effet miroir, vous récoltez ce que vous semez, si vous véhiculez des messages pessimistes (ça ne marchera jamais !, c’était mieux avant, c’est beaucoup trop difficile…), vous entrainez collaborateurs et collègues dans ce pessimisme ambiant… Mieux vaut donc voir le verre à moitié plein qu’à moitié vide. De la même manière, les grands champions de sport, qui certes travaillent leurs points faibles, s’intéressent surtout à leurs points forts pour en faire de véritables armes.
Parce que cet optimisme donne la capacité à dépasser ses limites. Sénèque disait: « ce n’est pas parce que les choses sont difficiles que nous n’osons pas, c’est parce que nous n’osons pas qu’elles nous paraissent difficiles ». Cet optimisme et cette croyance de se dire qu’on peut y arriver créent une dynamique qui engendre un cercle vertueux: nous croyons en notre réussite, donc nous osons tenter les choses et du coup nous développons notre apprentissage… Comme le disait Nelson Mandela, « je ne perds jamais, soit je gagne, soit j’apprends ».
En synthèse, ayons confiance en notre capacité à réussir les choses et à faire bouger les lignes peu importe notre métier: c’est déjà un grand premier pas vers la réussite !!!
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En complément de l’article ci-dessus:
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